You are here

Peindre un mur en parpaing extérieur : toutes les étapes pour réussir

Peindre un mur en parpaing extérieur est sans doute l’un des travaux les plus ingrats qui soient. Sauf qu’on l’a fait pour vous. Et qu’on vous livre toutes nos astuces pour un résultat impeccable, durable, et facile à entretenir. Le tout, dans un guide ultra-complet (et fun).

20 min
Travaux & Rénovation
3 August 2025 à 19h00

Entre nous, peindre un mur en parpaing extérieur est sans doute l’un des travaux les plus ingrats qui soient. Entre la préparation interminable, le choix des produits et la technique, c’est le meilleur moyen de s’en dégoûter à vie. Mais aussi de se retrouver avec un résultat à la fois moche, peu durable et impossible à entretenir. Sauf qu’on l’a fait pour vous. Et qu’on vous livre toutes nos astuces pour un résultat impeccable, durable, et facile à entretenir. Le tout, dans un guide ultra-complet (et fun).

Pourquoi et quand peindre des parpaings extérieurs ? 🎨

Commencer un chantier sur du parpaing nu, c’est comme s’attaquer à la face cachée de la lune : pas glamour, bourré de cratères, mais avec un potentiel insoupçonné…

Les parpaings extérieurs : ce qu'il faut savoir avant de dégainer le pinceau

Le parpaing – ou bloc béton pour ceux qui aiment jouer les experts – c’est 80% de pierre (un mélange de gravier et de sable), 7% de ciment, le reste en eau. Bref, pas vraiment une recette de gâteau, mais plutôt l’ingrédient basique du mur extérieur à la française ! Les dimensions standards ? 20 x 25 x 50 cm pour les plus courants (sinon, c’est 10 ou 15 cm d’épaisseur si tu veux chipoter). Ce machin-là a deux super-pouvoirs : il résiste aux bourrasques et au feu... Mais côté look ? C'est aussi avenant qu’un lundi matin pluvieux. Brut, grisâtre, parfois criblé de petits trous et lézardes – bienvenue dans le monde merveilleux du « j’ai construit vite fait, on verra pour l’esthétique plus tard ».

Le parpaing est solide, économique, mais côté déco... sans une touche perso, ça frôle le déprime architecturale !

Mur en parpaings bruts extérieur peu esthétique

Pourquoi repeindre un mur en parpaing ? (Spoiler : ça change tout)

Disons-le franchement (encore) : laisser ses murs en mode "brut industriel qui pique les yeux", c'est l’assurance tout risque du mal-être visuel. Peindre son parpaing extérieur, ce n’est pas juste une lubie d’Instagrammeur; c’est LA solution pour arrêter d’avoir honte devant les voisins et gagner quelques points sur la valeur immobilière.

Les avantages principaux de la peinture sur les parpaings extérieurs :

  • Planque-misère : Camoufle fissures et irrégularités comme un filtre beauté sur TikTok.
  • Bouclier météo : Protège des averses, UV tapageurs et vent façon sèche-cheveux géant.
  • Relooking express : Un mur peint = métamorphose instantanée. On passe du gris pénitencier au style maison magazine – enfin presque.
  • Anti-poussière : Limite la poussière incrustée dans le béton poreux. Oui oui !
  • Valorisation : Un coup de pinceau bien choisi peut faire croire que t’as refait toute ta maison alors que t’as juste bossé trois après-midis… Bref, on fait comme on peut pour que ça ne soit pas moche.

Anecdote véridique : j’ai vu une voisine repeindre son vieux mur décrépi en bleu canard. Cinq jours après, elle recevait sa famille « venue admirer le jardin ». Spoiler : tout le monde mattais le mur ! C’est dire si ça change TOUT.

Les conditions idéales pour peindre dehors : ni trop chaud, ni trop froid, ni trop humide

Entre nous, la météo c’est souvent l’excuse parfaite pour procrastiner (« Ah mince il bruine ! »). Sauf que là… faut vraiment surveiller :
- Température idéale : entre 10°C et 25°C – En dessous de 5°C ? Oublie direct. Au-dessus de 30°C ? Ta peinture va cuire façon omelette ratée.
- Pas de pluie pendant ET après l’application – Sérieux : rien ne ruine plus un chantier qu’une averse surprise.
- Peu d’humidité dans l’air – Le béton absorbe sinon comme une éponge maligne.
- Évite vent fort – Sinon tu peins autant l’air que ton mur (et bonjour les grains collés).
N’hésite pas à checker la météo sur trois jours minimum; personne n’a envie d’un effet tie&dye involontaire parce qu’il a plu pile pendant la nuit...

⚠️ À bannir : température 30°C ! Peindre sous ces seuils c’est s’assurer craquelures et décollements express.

Le choix cornélien : Quelle peinture pour vos parpaings extérieurs ? 🤔

Disons-le franchement, choisir sa peinture façade, c’est comme hésiter entre trois playlists pour une soirée : tu sais que si tu te gourres, l’ambiance va tourner au vinaigre. Et sur du parpaing, t’as pas droit à l’erreur — ce support brut réclame du sérieux, sinon bonjour les dégâts.

La peinture façade : la valeur sûre pour l'extérieur

La peinture de façade, c’est le patron du chantier extérieur. Pourquoi ? Parce qu’elle est littéralement conçue pour prendre cher toute l’année : résistance aux UV, à la flotte, au gel et aux variations de température qui fileraient la migraine à une girouette. Enrichie en résine (souvent polyacrylique), elle agit comme une carapace : imperméable à la pluie tout en laissant respirer le mur — un combo parfait pour le parpaing poreux !

On parle ici d’une peinture qui ne claque pas au bout de deux hivers et qui garde ses couleurs sans virer au pastel délavé façon tee-shirt oublié au soleil. Franchement, opter pour autre chose quand on a un support aussi capricieux que le parpaing… Ça relève limite du sabotage.

Peinture acrylique, microporeuse, silicate... le casse-tête décrypté

Entre nous, chaque fabricant balance son « meilleur produit » mais tout ne se vaut pas. Passons-les au crible :

Type de Peinture Composition principale Avantages clés Inconvénients Adaptabilité au parpaing
Acrylique Eau + résine acrylique Facile à appliquer, bon pouvoir couvrant, sèche vite Moins durable en zone extrême ✔️ Parfait sur parpaing sec
Microporeuse Acrylique ou siloxane Laisse respirer (évite les cloques), bonne résistance aux UV Parfois pouvoir couvrant moyen ✔️ Idéal si mur légèrement humide
Silicate Silicate minéral Ultra-résistante, minérale (effet pierre), tenue exceptionnelle Application technique et chère ✔️ Sur vieux ou neuf très exposé

Ce que tu dois comprendre : sur un mur en parpaing jamais peint ou légèrement humide, privilégie une microporeuse ou une acrylique haut de gamme. Si tu vises la longévité XXL et que t’es prêt à t’impliquer côté technique (et budget), la silicate c’est le graal – mais ça pardonne zéro erreur d’application.

L'importance d'une peinture garnissante et opacifiante pour un rendu parfait

Un mur en parpaing nu, c’est tout sauf lisse... Si ta peinture n’est pas garnissante ET opacifiante, prépare-toi à voir les joints réapparaître comme des fantômes après chaque couche !
- Pouvoir garnissant : ça masque direct les trous-pore et les irrégularités du béton.
- Opacité : pour éviter de devoir mettre 5 couches juste pour cacher ce fichu gris béton.
Bref, on fait comme on peut… Mais avec ce type de peinture épaisse et couvrante, tu gagnes du temps ET un résultat net sans suer dix litres (et claquer ton budget sur des litres supplémentaires).

Nuancier RAL : osez la couleur, même sur le parpaing !

Oublie le sempiternel « blanc éclat hôpital ». Le nuancier RAL (oui oui, celui avec plus de 200 couleurs !) te donne carte blanche pour réveiller ton mur. Les incontournables ?
- RAL 9010 (blanc pur) ou RAL 1015 (beige clair) : valeurs sûres si tu veux rester soft.
- Un vert sauge ou bleu océan – effet wahou garanti dans un jardin bohème !
- Plus osé ? Ocre rouge ou gris anthracite : ambiance contemporaine assurée.
Mais choisis aussi selon l’exposition : les tons clairs réfléchissent la chaleur alors que les foncés absorbent…

Exemple nuancier RAL couleurs façade extérieur

Utiliser le nuancier RAL, c’est comme piocher dans une boîte à bonbons chromatique. Franchement qui rêve encore d’un mur fadasse quand y’a autant d’options ?

Anecdote maison : j’ai vu un type peindre son muret en « vert menthe RAL ». On lui a volé son code couleur pendant une fête quartier tellement tout le monde voulait copier. C’est dire si ça marque !

Ce qu'il faut éviter : les peintures qui ne feront pas long feu

Disons-le franchement : utiliser une peinture intérieure dehors parce qu’il restait un fond dans un pot… c’est niveau amateur éclairé qui cherche volontairement la galère. Les risques ? Craquelures express dès la première gelée et couleurs lessivées après trois averses… Les peintures d’intérieur sont pensées pour être jolies sous abri ; dehors elles se font dézinguer par les UV et restent perméables à la flotte — donc mauvaise idée absolue !
Certaines peintures bourrées de solvants volatils (COV) très fins sèchent trop vite ou s’évaporent avant même d’adhérer correctement ; résultat ? Ça pèle direct… Entre nous : économiser ici revient à repeindre tous les ans.

Préparation du parpaing : la clé d'une peinture qui tient la route 🛠️

Peindre sans préparer, c’est comme tartiner un vieux toast moisi avec du foie gras – aucun respect pour le produit et un résultat douteux assuré. La préparation, c’est vraiment 80% de la bataille. Voici l’art du chantier propre :

Nettoyage intensif : dites adieu à la crasse et aux mousses

Nettoyer un mur en parpaings, c’est pas juste passer un chiffon vite fait. On attaque SÉRIEUX :
- Brossage à sec : Pour dégager la poussière et les miettes de béton (la base).
- Nettoyage à l’eau + brosse dure : T’es pas là pour caresser, tu veux virer le gras !
- Produits anti-mousses/algues : Eau de javel diluée (1 part pour 4 d’eau) ou produits spécifiques anti-végétaux, laisse agir puis rince bien.
- Nettoyeur haute pression ? Oui… mais mollo : trop proche, tu dézingues le mortier !
- Élimine tout ce qui verdit, noircit ou s’incruste – sinon ça va ressortir sous la peinture comme une mauvaise coupe de cheveux.

Entre nous, ce nettoyage c’est LA fondation : si tu zappes cette étape, autant repeindre direct sur un compost... Pour des méthodes béton et choix de produits efficaces (pas des bidules marketing), checke ce guide : Comment nettoyer une façade efficacement

Nettoyage d'un mur en parpaings extérieur avec brosse pour enlever saleté et mousse

Traitement des imperfections : fissures, lézardes et autres joyeusetés

Un mur en parpaing non traité, c’est rarement aussi nickel que sur catalogue. Avant de peindre, il faut faire la chasse aux défauts :
- Fissures ou lézardes : On dégrossit au grattoir pour virer tout ce qui sonne creux.
- Enduit de rebouchage spécial extérieur (mortier silicone/plâtre résiné/ciment) : déborde bien sur les bords sains, applique avec une spatule ou pistolet.
- Laisse sécher COMPLETEMENT selon indication fabricant – sinon ça va cloquer quand tu mettras la peinture.
Bref, c’est le moment « soin intense » pour ton mur fatigué. Il mérite bien ça avant de reprendre couleur !

L'enduit de rebouchage : quand le parpaing a besoin d'un lifting

Parfois y’a davantage qu’un simple creux à combler – là faut envisager carrément l’enduit généralisé :
- Opte pour un enduit ciment traditionnel, monocouche façade ou chaux si tu veux jouer roots.
- Application spatule/truelle large ; épaisseur selon le besoin (en général 10 à 15 mm suffisent). Faut viser une surface homogène sans vagues ni bosses…
- Un enduit réussi c’est comme un bon masque visage avant rendez-vous galant : on ne bâcle PAS !
Si tes joints sont irréguliers ou qu’il y a des zones entières à « régulariser », n’hésite pas – ça vaut mille fois mieux que cumuler vingt couches de peinture qui ne masqueront rien.

Application d'enduit de rebouchage sur un parpaing extérieur avec une spatule

Ponçage et dépoussiérage : la touche finale avant l'impression

Un ponçage rapide (papier abrasif grain moyen) sur les zones rebouchées suffit généralement. Là où ça brille trop ou où l’enduit fait des vagues : ponce !
Ensuite ? On dépoussière avec une grosse brosse… voire même l’aspirateur si t’es vraiment du genre maniaque (rare chez les bricoleurs bordéliques mais bon). Un mur propre = adhérence garantie = rendu net. Rien de plus frustrant qu’une poussière incrustée sous ta belle peinture !

L'application de la sous-couche : l'étape indispensable pour une bonne adhérence

Disons-le franchement : oublier la sous-couche sur du parpaing poreux revient à coller un poster avec du chewing-gum mâché – ça tient deux jours max...
La sous-couche (primaire d’accrochage spécial façade/béton) sert :
- À uniformiser l’absorption du support (parpaing boit comme un trou sinon)
- À bloquer le fond poussiéreux/protecteur invisible
- À améliorer nettement l’accroche ET à réduire ta conso de peinture ensuite.
Application au rouleau à poils longs (ou pistolet si t’as envie d’épater), passes croisées. Respecte bien le temps de séchage avant toute mise en couleur. Bref, on fait comme on peut — mais là VRAIMENT ne saute pas cette étape sauf si t’aimes recommencer tout dans six mois…

🛑 Oublier nettoyage + sous-couche = carnage assuré. Prends ton temps ici ou prépare-toi à pleurer sur tes pots vides.

L'application de la peinture : étape par étape, sans se prendre la tête 🖌️

Peindre des parpaings extérieurs sans le bon matériel, c’est comme faire du vélo sans selle : ça fait mal et c’est moche. Faut s’équiper pour ne pas finir à pleurer sur le trottoir.

Le matériel indispensable : rouleau à poils longs, pinceau, pistolet à peinture ?

Pour ce genre de taff un peu brutal, oublie les mini-rouleaux d’artiste. Il te faut :
- Rouleau à poils longs : pour épouser les irrégularités du parpaing (sinon, la moitié reste grise)
- Pinceaux brosse : pour les angles, les joints et tous les coins où même ta patience ne rentre pas
- Bac à peinture avec grille d’essorage
- Ruban de masquage costaud (pas celui qui se décolle au premier coup de vent)
- Bâches épaisses pour protéger sol, fenêtres et ce que tu veux garder présentable
- Gants étanches, masque si tu utilises une peinture puissante ou pistolet

Option grand luxe ? Le pistolet à peinture. Sérieux, sur grande surface c’est quatre fois plus rapide et la couvrance est top. Mais il faut prévoir deux fois plus de bâchage (ça gicle partout) et nettoyer l’engin ensuite (une purge). Si t’as pas peur de sortir l’artillerie… fonce.

Peinture d'un mur extérieur en parpaings avec rouleau, bac et bâche de protection

Première couche : la sous-couche fixante, votre meilleure alliée

Un secret vieux comme le monde du BTP : si tu zappes la sous-couche, tout le reste servira juste à masquer tes regrets.
- Trempe ton rouleau (ne le noie pas non plus), égoutte-le bien sur la grille.
- Applique en bandes verticales régulières (du haut vers le bas) – commence toujours d’en haut sinon ça coule et te ruine tout.
- Croise ensuite horizontalement pour bien remplir les alvéoles du bloc béton ; même technique si tu bosses au pistolet.
- Pour les angles/joints, attaque direct au pinceau brosse.
Couvre TOUT – si t’oublies un coin, ce sera là que ton mur commencera à se barrer dans six mois. Bref, on fait comme on peut… mais cette première couche c’est la vie !

Application de la peinture : techniques et astuces pour un résultat pro

Entre nous, peindre "vite fait" sur du parpaing c’est le meilleur moyen d’avoir un mur zébré façon camouflage raté. Voici comment éviter le carnage :

Astuces incontournables pour une application réussie sur parpaing :

  • Toujours travailler par petites zones (genre 1 m²), sinon ta peinture sèche avant que t’aies fini de croiser
  • Ne surcharge pas ton rouleau : trop plein = coulures moches ; trop sec = traces horribles
  • Maintiens toujours le rouleau humide (rajoute régulièrement un peu dans le bac)
  • Repasse sur les zones peintes tant que c’est frais (sinon marques assurées)
  • Coins/angles : passe systématiquement au pinceau brosse avant chaque zone au rouleau
  • Mélange bien ta peinture avant ET pendant — sinon tu finis avec des nuances dignes d’un tableau cubiste raté !
    Pour d’autres conseils avisés sur l’art pictural maison (non, je ne mens jamais) checke ces techniques de peintre qui font la différence.

Les passes croisées : le secret pour une couverture uniforme

Faut pas croire : "une couche dans un sens" = résultat miteux garanti. La seule méthode qui marche vraiment sur ce support irrégulier ? Les passes croisées :
1. D’abord passe verticalement (de haut en bas).
2. Avant que ça sèche, croise dans l’autre sens (horizontalement) avec moins de charge.
3. Termine en lissant très légèrement du haut vers le bas.
Cette astuce permet à la peinture de rentrer VRAIMENT partout – marre des murs patchwork après trois jours de boulot ? Cette technique change tout.

À retenir : Les passes croisées transforment ton mur texturé en façade digne d’un pro — adieu coulures visibles et trous tristes !

Le séchage entre les couches : la patience est une vertu (surtout en peinture)

Disons-le franchement : vouloir forcer sur l’enchaînement des couches sous prétexte « qu’il fait beau aujourd’hui » ? C’est risquer cloques ou craquelures… Les pros attendent généralement entre 3h et 8h selon produit/météo/humidité (lis VRAIMENT l’étiquette du pot). Au toucher sec ne veut PAS dire prêt pour recouvrir – faut laisser respirer !
Entre nous : laisse mijoter tranquillement ; rater son film de peinture juste parce qu’on a voulu tout finir avant midi… c’est ballot.

⏳ Respecte sérieusement le temps de séchage recommandé sous peine d’un effet peeling moche prématuré.

Deuxième couche (et plus si affinités) : pour une finition impeccable

La deuxième couche ? C’est ici que tu vois si t’as bossé proprement ou juste barbouillé…
- Même technique que précédemment : trempage modéré du rouleau/pinceau brosse sur coins/angles/passes croisées.
- Sur du parpaing neuf ou couleur pétante => souvent UNE troisième couche sauve vraiment le rendu final !
Ne sois pas radin : mieux vaut faire une retouche générale que regretter ces traînées béton qui transparaissent « après séchage complet ». Disons-le franchement : c’est cette étape qui transforme un chantier fissa-fait dans l’urgence en façade qui claque vraiment longtemps.

Entretenir votre mur peint en parpaing : pour que ça dure longtemps ✨

Après tout ce travail, ce n’est pas pour voir ton mur perdre son éclat trois saisons plus tard. L’entretien, c’est la partie que tous les paresseux veulent zapper — et c’est pile ce qui fait la différence entre une façade « nickel chrome » et un mur qui fait grise mine…

Nettoyage régulier : un coup d'éponge et c'est reparti

Ne sous-estime JAMAIS le pouvoir du nettoyage régulier. Un peu d’eau savonneuse, une brosse douce (pas celle en fer façon décapage de plancher !), et zou, tu dégages poussière, toiles d’araignée ou mini-salissures. Pas besoin de sortir la chimie lourde ou l’artillerie genre nettoyeur haute pression à fond les ballons : ça décape la peinture, littéralement.

Le bicarbonate ou l’acide citrique dilué, c’est pas mal si tu veux du naturel contre mousses ou traces (source Guardindustrie) — mais jamais pur et en frottant gentiment.

À retenir : Un entretien doux = durée de vie XXL pour ta peinture façade.

Entretien et nettoyage d'un mur extérieur peint avec une brosse douce

Surveillance des intempéries : détecter les signes de faiblesse

Entre nous : attendre que la catastrophe débarque n’a jamais sauvé une façade. Regarde vite fait tous les 2-3 mois (ou après un gros orage) :
- Petites fissures dans la peinture ? Préviens avant que ça devienne canyon.
- Cloques ou zones qui boursouflent ? Signe que l’humidité travaille derrière.
- Traces d’effritement, poudre blanche (« efflorescences salines ») ou auréoles sombres ? Là on parle infiltration ou choc météo (source Peintre Facades).
- Taches d'humidité persistantes ? Rien ne sert de croire au miracle, faut agir sec.
Bref, c’est comme le contrôle technique pour ta bagnole — sauf qu’ici, personne ne te collera une amende, mais tu risques gros sur l'esthétique !

⚡ Inspecter régulièrement ton mur te sauvera des travaux lourds plus tard. Plus tu réagis tôt, moins t’as à dépenser (et râler).

Petites retouches : quand un bobo nécessite un pansement coloré

Disons-le franchement : attendre que tout le mur parte en vrille juste parce qu’une micro-zone est abîmée… C’est comme laisser traîner une écharde dans son doigt « en espérant qu’elle sortira toute seule ». Pour une retouche efficace :
1. Nettoie soigneusement la zone (eau savonneuse/brosse douce).
2. Si besoin, ponce très légèrement autour du défaut – histoire que la reprise soit invisible.
3. Applique une fine couche de ta peinture d’origine (oui, fallait garder ce fond de pot… sinon bon courage pour retrouver EXACTEMENT la même nuance).
4. Laisse sécher tranquille sans tripoter !
Garde toujours un bocal hermétique avec un peu du mélange utilisé lors du chantier — entre nous, rien n’est plus rageant que d’avoir 99% du bon coloris sans pouvoir réparer le détail qui cloche.

Anecdote vécue : j’ai déjà vu quelqu’un repeindre tout un muret parce qu’il avait perdu le nom exact de sa teinte RAL… Trois après-midis de perdu juste pour avoir zappé cette astuce simple – ridicule mais courant !

Ce genre de petite attention régulière permet à ton mur d’afficher fièrement ses couleurs année après année sans finir en patchwork dépressif.

Conclusion : Votre mur en parpaing est enfin prêt à briller !

Disons-le franchement : qui aurait parié qu’un vieux mur grisâtre pouvait devenir la star du jardin ou de votre entrée ? Et pourtant… Si t’es arrivé jusqu’ici sans tourner de l’œil, c’est que tu comptes bien transformer ton parpaing dépressif en un truc (presque) digne d’Instagram. Récap' serré des étapes vitales – histoire de ne rien zapper le moment venu.

Les étapes qui changent tout (vraiment)

  • Bon choix de peinture : Évite les bidouilles, vise une façade acrylique/microporeuse/silicate, adaptée au béton et à la météo de chez toi.
  • Préparation méticuleuse : Nettoyage profond, chasse aux fissures, enduit si besoin. Si tu bâcles, c’est retour direct à la case « mur moche » dans 6 mois.
  • Application soignée : Rouleau à poils longs, passes croisées, respecte le séchage. Deux couches mini, voire trois pour les perfectionnistes (ou les fans de couleurs flashy).
  • Entretien régulier : Un coup d’éponge douce et deux yeux sur chaque bobo naissant – ça allonge la durée de vie comme jamais.
Bref, on fait comme on peut… mais avec ces astuces béton et un poil d’audace, ton mur ne jouera plus jamais la victime des saisons ou des regards acides du voisinage.

Entre nous : rien n’empêche de sortir du lot—ose le vert absinthe ou l’anthracite coup-de-poing ! Tant que tu prépares bien ton support et choisis LA bonne peinture, t’as zéro raison pour que ça foire. Qui sait ? Peut-être qu’on viendra bientôt admirer TA façade quand on passera dans la rue…

Mur en parpaing extérieur peint avec une couleur vive après chantier terminé
Peindre un mur en parpaing extérieur : toutes les étapes pour réussir

Sur le même thème

2020-2025 Media Group. Marque déposée. Tous droits réservés - Mentions