Occasionnel ou régulier, la location de remorque est la solution idéale pour transporter n'importe quoi, n'importe où et n'importe quand. Mais encore faut-il connaître les bons plans, les meilleures adresses et les démarches à suivre. Sans parler du permis et du PTAC. On vous dit tout dans notre guide complet.
Louer une remorque particulier : la solution pour vos gros besoins (sans se ruiner)
Déménager un salon Ikea entier dans une Twingo, c’est comme essayer de caser un hippopotame dans une baignoire : c’est marrant cinq minutes, mais ça finit toujours mal. Disons-le franchement : la vie moderne, c'est des imprévus à la pelle. Déménagement express, canapé trouvé sur LeBonCoin un soir d'euphorie, branches de thuya qui font exploser la benne à compost… Bref, on fait comme on peut.
Pourquoi louer une remorque ? Les raisons qui poussent le commun des mortels à franchir le pas
Scénarios où la location de remorque sauve la mise:
- Transporter l’armoire normande de mamie sans transformer sa Clio en cercueil roulant.
- Aller à la déchetterie un samedi matin, quand tout s’entasse dans le garage depuis 2 ans.
- Déménager ses outils et sa tondeuse pour rendre service (et se faire offrir une bière).
- Récupérer 4m² de planches en promo au magasin de bricolage, parce qu’on n’a pas résisté à la promo.
- Vider une cave pleine de cartons moisis, parce que le proprio menace de tout balancer.
À retenir : Louer, c’est éviter d’acheter un engin qui dort 362 jours par an dans le jardin, et ça, entre nous, vos voisins vous remercieront (plus de vue sur le tas de ferraille !).
Les avantages de la location : flexibilité, coût et diversité des offres
Disons-le franchement, acheter une remorque juste « au cas où », c’est comme acheter une piscine gonflable pour 2 bains par an : pas franchement malin. La location, c’est la souplesse incarnée. Vous choisissez exactement la taille et le type de remorque pour vos besoins du moment. Un petit modèle pour trois cartons, un plateau XXL pour le frigo américain offert par la belle-mère…
Le coût ? Là, on touche le jackpot : pas d’assurance ni d’entretien à prévoir, zéro place perdue pour stocker l’engin. Louer revient largement moins cher, sauf si votre passion dans la vie c’est tracter des trucs tous les week-ends (et franchement, qui fait ça ?). On ne va pas se mentir : même la location entre particuliers permet d’éviter les frais cachés des pros et tout le tralala administratif.
La diversité ? Hallucinante ! Il existe plus de modèles que d’excuses pour ne pas aider un pote à déménager : bagagères, fourgons, bâchées, porte-motos et j’en passe. Le choix est immense et personne ne vous force à garder une remorque moche sur votre parking !
Petite anecdote qui tue : Un dimanche matin, j’ai vu un voisin louer une remorque juste pour… transporter ses 23 sacs de terreau. Le gars aurait pu faire 9 allers-retours en voiture, mais il a préféré jouer malin : 15 euros, deux heures chrono, et plus jamais de terre aux quatre coins du coffre. Respect éternel.
Pour aller plus loin sur la location maligne et les bons plans utilitaires, jetez un œil à Location utilitaire entre particuliers : comparatif, prix et guide pour louer malin !
Quel type de remorque pour quel besoin ? Le guide des carrosseries !
Disons-le franchement, choisir sa remorque c’est comme composer une équipe de foot improbable : il y en a pour tous les goûts, mais faut pas se planter sur le poste clé. La preuve par le détail.
La remorque bagagère : le couteau suisse du transport
La remorque bagagère, c’est l’incontournable des routes françaises. Moins de 750 kg, tout public, zéro prise de tête. On la croise partout : départs en vacances, brocantes ridicules ou transhumance saisonnière d’objets qui « pourraient servir un jour ». Capacité typique : autour de 0,9 m³ et charge utile dans les 400 kg (source : Bricolib). L’avantage ? Tout le monde sait s’en servir en 2 minutes chrono, à part peut-être votre oncle allergique à tout ce qui roule. Pratique pour les valises, poussettes, glacières et ce fameux barbecue qui ne rentre JAMAIS dans le coffre.
Petit clin d’œil : c’est un peu comme si Tetris rencontrait la France profonde – chaque centimètre cube est optimisé avec rigueur (ou pas).
La remorque fourgon : pour les objets sensibles et les longs trajets
Le modèle fourgon est LA référence quand il s’agit de transporter du fragile ou du « précieux » (petit-fils ou machine à laver, même combat). Structure fermée oblige : finies les sueurs froides à l’idée qu’un orage transforme vos meubles Ikea en éponge géante. Côté sécurité anti-vol, c’est aussi la meilleure copine… sauf que charger un frigo américain seul dans ce caisson, ça relève du sport olympique. Bref, on fait comme on peut. En location, les volumes varient souvent autour de 3 à 12 m3 pour les remorques utilitaires.
La remorque basculante : quand la gravité fait le travail
Pour vider des tonnes de gravats ou balancer du sable sans sortir la pelle, la basculante entre en scène. Grâce à son mécanisme d’inclinaison (manuel ou hydraulique), on profite d'une complice rare : la gravité fait quasiment tout le boulot. Sérieusement, jeter des sacs lourds par-dessus bord ? Non merci. Les versions double essieu offrent plus de stabilité – histoire d’éviter de retourner la cargaison sur la bretelle de l’A6 (ça sent le vécu ?).
La remorque bâchée : la championne du tout-terrain et des intempéries
À mi-chemin entre liberté et protection, la bâchée s’adapte à presque tous les usages. Elle protège vos affaires des averses vicieuses ET empêche que la voisine zieute vos trouvailles du samedi (ou vos déchets verts douteux). Espace modulable et bâche simple à installer – plus aucune excuse pour revenir bredouille d’Ikea (ou du marché aux puces…).
La remorque porte-moto : pour les bolides à deux roues
Les fans de deux-roues ne jurent que par la porte-moto. Spécialement conçue pour sécuriser une ou plusieurs motos – rails profilés, attaches costaudes, rampes adaptées… L’arrimage est capital car une bécane mal sanglée sur l’A7 ? C’est direct au bêtisier annuel. Disponibles pour une ou deux motos généralement ; vérifiez TOUJOURS que vos sangles sont dignes de confiance avant de partir.
Et les autres ? Focus sur les remorques spécialisées
Entre nous, il existe une galaxie délirante de modèles spécialisés : plateaux nus pour voitures anciennes (bonjour collectionneurs !), remorques frigorifiques pour traiteurs exigeants (le camembert fondu dans la Clio c’est NON), modèles pour animaux ou encore semi-remorques géantes pour pros tordus…
À retenir : louer une remorque adaptée à VOTRE besoin précis évite beaucoup d’ennuis – voire des scènes dignes d’un mauvais sketch chez le garagiste. Personne n’a envie d’expliquer comment son cochon nain s’est fait la malle sur l’A10.
Le permis et le PTAC : cette fameuse équation qui peut vous jouer des tours
Disons-le franchement, la réglementation du remorquage, c’est un peu comme un Rubik’s Cube dont il manque deux couleurs – frustrant et pas franchement intuitif. Le combo "permis" et "PTAC" fait transpirer plus d’un conducteur du dimanche ! Voici de quoi sortir vivant de cette jungle réglementaire (et, entre nous, éviter un contrôle routier qui tourne mal).
Le PTAC, c'est quoi ce truc et pourquoi c'est votre meilleur ami (ou votre pire ennemi)
Le PTAC (Poids Total Autorisé en Charge), c’est la somme du poids à vide de la remorque ET de son chargement maximal. En gros, tout ce qui roule derrière vous – valises, bétonnière ou chèvre naine – ne doit jamais faire grimper l’aiguille au-delà de ce chiffre sacré.
Pourquoi c’est aussi important ? Car le PTAC détermine le type de permis nécessaire pour tracter en toute légalité ET le montant de l’amende si vous jouez trop avec les limites. Un PTAC dépassé = PV salé + immobilisation (et ça, ça ruine un dimanche à la campagne). Bref, on fait comme on peut mais on regarde d’abord la plaque avant de charger !
Permis B, B96, BE : décryptage pour ne pas se faire surprendre au bord de la route
Ici, c’est festival des initiales, mais il ne faut pas se tromper sous peine d’apprendre la loi avec les gendarmes.
- Permis B : autorisé si la remorque a un PTAC ≤ 750 kg. OK aussi si l’ensemble voiture + remorque ne dépasse pas 3 500 kg (PTAC total).
- Permis B96 : indispensable quand l’ensemble est entre 3 500 et 4 250 kg (PTAC voiture + remorque > 3 500 kg mais ≤ 4 250 kg). Petite formation à passer, rien de bien méchant.
- Permis BE : là, on joue dans la cour des grands. Obligatoire dès que l’ensemble dépasse les 4 250 kg.
Astuce qui pique : certains pensent qu’avec une grosse voiture tout passe… Faux ! C’est l’addition des deux PTAC qui compte. Disons-le franchement, mieux vaut vérifier trois fois qu’une.
Comment savoir quelle remorque vous pouvez tracter ? Les calculs qui sauvent la mise
La méthode ? Même pas besoin d’être matheux ! Il suffit de comparer deux infos :
- Le PTRA (Poids Total Roulant Autorisé) du véhicule tracteur – trouvé sur sa carte grise (case F3).
- Le PTAC de la remorque – trouvé sur sa plaque ou sa carte grise.
La formule miracle :
PTRA - PTAC voiture ≥ PTAC remorque
Si le résultat est négatif ou si ça dépasse ce que votre permis autorise… On oublie !
Pour ne pas finir en sketch sur une aire d’autoroute, vérifiez toujours vos documents AVANT d’atteler. Entre nous, rien ne vaut une double-check list maison.
Anecdote express : Un pote s’est vu recaler au contrôle juste parce qu’il avait ajouté une tente de toit à sa caisse… Résultat ? PTRA dépassé de 12 kilos. Les joies de l’ultra-précision administrative à la française !
Tableau comparatif simplifié des permis et PTAC autorisés
| Permis | PTAC Remorque | PTAC Voiture + Remorque | Formation |
|---|---|---|---|
| B | ≤ 750 kg | ≤ 3 500 kg | Pas besoin |
| B | > 750 kg | ≤ 3 500 kg | Si remorque ≤ poids vide voiture |
| B96 | > 750 kg | > 3 500 kg & ≤ 4 250 kg | Formation B96 |
| BE | > 750 kg | > 4 250 kg | Permis BE |
Où louer sa remorque ? Les bonnes adresses (et quelques bons plans)
Disons-le franchement : si vous cherchez une remorque, il n’y a pas que le vieux panneau « à louer » sur la nationale. Les options sont légion, mais toutes ne se valent pas en termes de budget, confort et… surprise sur la facture. Petit tour d’horizon sans filtre.
Les grandes enseignes : Kiloutou, Norauto, Loxam, et leurs services
Chez les poids lourds de la location – Norauto, Kiloutou, Loxam – on ne plaisante pas avec le service. Large choix de modèles, réservation en ligne, matériel récent, horaires à rallonge : on sent le professionnalisme à chaque étape. Disons-le franchement, c’est rassurant pour les stressés du déménagement et ceux qui veulent éviter le matos qui couine. Côté prix ? Comptez dès 14 € chez Kiloutou (petite remorque simple), autour de 30 € chez Norauto pour la version basique, et jusqu’à 120 € par jour chez Loxam pour des modèles spéciaux (genre basculante pour gravats).
Mais attention : fiabilité et facilité se paient. Les tarifs montent vite si vous visez un week-end ou un modèle un peu rare, et les options (assurance, cadenas, rampe) font grimper l’addition. Bref, on fait comme on peut, mais on paye surtout la tranquillité d’esprit et le zéro prise de risque.
Location entre particuliers : le bon filon pour dépanner et économiser
Envie de casser la routine ? Passez par la location entre particuliers sur des plateformes dédiées : Ma-remorque-a-louer, Bricolib, Kiwiiz… ou même LeBonCoin pour les vrais chasseurs de bons plans ! C’est souvent des prix imbattables (on peut tomber sur du 5 à 10 € la journée), horaires flexibles et ambiance détendue (café offert si vous aidez à reculer !).
Là, zéro chichi, mais attention au sérieux du matériel. Entre nous, il y a autant de types de remorques que d’excuses foireuses pour en louer une. Il suffit juste de trouver le modèle pour sa mission du jour : vide-grenier, tronçonneuse ou cochon nain, tout y passe. Et souvent, la proximité joue : vous louez à un voisin et c’est la solidarité qui roule !
Conseils pour bien choisir son loueur : les vrais critères qui comptent
Avant de cliquer sur « Réserver » ou de serrer la main à Jean-Claude du quartier, posez-vous les bonnes questions :
- Le prix total (incluant assurance et options… parfois sournoises)
- Disponibilité de la remorque, surtout en fin de semaine
- Assurance et caution : ce qui est couvert, ce qui ne l’est PAS
- État et propreté du matériel (certaines remorques ont vécu Mai 68…)
- Localisation : perdre 1 h pour récupérer la remorque, très peu pour moi
- Frais annexes : kilométrage, cadenas, rampe d’accès
Entre nous, lisez TOUJOURS les petites lignes du contrat ou de l’annonce. C’est là que se cache la vérité sur les frais "oubliés", l’assurance ou la franchise.
À retenir : mieux vaut une vieille remorque fiable qu’un modèle flambant neuf dont la roue lâche sur la rocade. Faut savoir rester lucide, même quand l’envie d’économiser vous titille !
Le processus de location : un jeu d'enfant (ou presque)
Disons-le franchement : réserver une remorque, c’est loin d’être le parcours du combattant. Que ce soit entre particuliers ou via une enseigne, les étapes sont limpides :
- Recherche du modèle qui colle à votre besoin (et à votre budget).
- Demande de devis ou de réservation, souvent en trois clics.
- Vérification de la disponibilité et confirmation rapide (parfois immédiate sur les plateformes).
- Signature du contrat (numérique ou papier), présentation du permis, d’une pièce d’identité, d’un justificatif de domicile – le trio classique.
- État des lieux avec le loueur, histoire d’éviter la dispute sur une rayure vieille de 1997.
- Restitution après l’opération, vérification sommaire, on rend la clé et basta !
Bref, on fait comme on peut, mais honnêtement, tout ça prend moins de temps que d’assembler une étagère suédoise.
Les tarifs : ce qui fait varier le prix (jour, week-end, assurance, options)
Disons-le franchement, le tarif, c’est le grand écart !
- Durée : à la journée, le week-end, ou semaine – plus c’est court, plus le tarif grimpe à l’heure.
- Type et taille : une remorque simple démarre vers 5-10 €/jour chez un particulier, alors qu’un modèle bâché grimpe facilement autour de 35-40 €, et la basculante (celle des chantiers de ouf) peut dépasser 150 €/week-end chez les pros !
- Options : roue de secours, antivol, rampe d’accès… chaque gadget fait gonfler la note.
- Assurance : parfois incluse, parfois à rajouter (sinon bonjour la franchise en cas de pépin !).
Il faut traquer les détails du contrat – certains font payer le cadenas ou facturent un « nettoyage » si vous rendez la remorque avec trois brins d’herbe. Entre nous, y a pas de petite économie.
Conseils pratiques pour un transport serein : arrimage, chargement, conduite
Disons-le franchement, tracter une remorque ne transforme pas votre voiture en semi-remorque. Mais il y a des règles d’or pour éviter les bêtises et l’arrêt sur le bas-côté :
- Arrimez tout ce qui bouge – sangles solides, crochets aux points d’ancrage, rien ne doit valser.
- Poids bien réparti : 60 % de la charge sur l’avant de l’essieu, jamais tout à l’arrière sinon ça dandine comme un canard bourré.
- Manœuvres & freinage : anticipez largement les distances, larguez l’accélérateur avant les virages, gaffe au vent latéral (mention spéciale aux bâchées !).
- Vérifiez la pression des pneus, l’éclairage, et le verrouillage de l’attelage avant chaque départ.
Entre nous, mieux vaut passer pour parano que finir sur YouTube dans "Best Fails Remorque 2024". Personne n’a envie d’expliquer pourquoi sa tondeuse s’est fait la malle sur le périph’ !
La location de remorque particulier : l'essentiel à retenir
Disons-le franchement : louer une remorque, c’est LA bonne pioche pour qui veut faire du transport sans prise de tête ni ruine banquière. Flexibilité maxi (choix du modèle pour chaque mission), économies garanties (pas d’achat inutile à dormir dans le jardin) et une offre pléthorique chez pros comme particuliers. Mais attention ! Le vrai secret, c’est de coller le bon modèle à son besoin et de maîtriser la fameuse équation permis/PTAC — sinon, bonjour la galère administrative ou la prune salée au bord de la route… Bref, on fait comme on peut, mais avec les bonnes infos, c’est open bar du transport malin.
Louer une remorque, c’est la solution intelligente pour tous vos gros coups ponctuels – à condition de choisir le bon modèle et de connaître les règles du jeu. Faut juste pas partir à l’arrache avec n’importe quoi derrière la voiture.
Points essentiels à retenir :
- Flexibilité & économie : un usage ponctuel = location, point barre.
- Choisir en fonction du besoin : bagagère ou basculante ? Porte-moto ou bâchée ? Le bon outil pour la bonne mission !
- Connaître permis et PTAC : cette jungle se traverse avec un peu d’humour et les bons chiffres.
- Options de location multiples : grandes enseignes ou plateformes collaboratives, il y a du choix pour tous les styles – même ceux qui aiment papoter avec leur voisin en jogging !




