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Peinture cheminée en brique : toutes les étapes pour réussir la transformation de votre foyer

On a peint notre cheminée en brique (oui, on est "ces" gens). On vous explique comment faire pareil.

18 min
Travaux & Rénovation
28 September 2025 à 2h55

Peindre une cheminée en brique est l'une des techniques les plus simples et efficaces pour la rénover. Mais aussi et surtout pour métamorphoser le style et l'ambiance d'une pièce entière. On vous explique tout ce qu'il faut savoir pour vous lancer — et obtenir un résultat digne d'un pro.

Peindre sa cheminée en brique : guide pour un relooking express 🎨

Pourquoi repeindre une cheminée en brique ? Les arguments essentiels

Disons-le franchement, garder une cheminée en brique « à l'état sauvage », c’est comme s’acharner à porter des chaussettes dépareillées lors d'un entretien d’embauche : ça marque les esprits, mais rarement dans le bon sens. La brique brute, c'est ce vestige de la déco des années « j’avais pas le choix », qui donne à votre salon des airs de salle d’attente de dentiste rural (sauf si c’est votre délire, évidemment).

Le relooking par la peinture ne fait pas qu’apporter une touche esthétique : il modernise l’espace sans avoir à vendre un rein sur LeBonCoin. L’uniformité visuelle permet de calmer un peu cette cacophonie de textures et de couleurs qui font pleurer les minimalistes. Mais entre nous, là où la peinture fait vraiment son show, c’est sur le plan pratique : nettoyage facilité (finies les taches noires indéboulonnables) et protection supplémentaire contre les agressions du temps. La brique devient soudain docile, moins poreuse, moins sujette aux mauvaises surprises.

« On dit que la brique non peinte est rustique ; moi j’y vois surtout un SOS lancé à tous les pots de peinture du coin ! »

Bref, on fait comme on peut… mais on peint.

Cheminée en brique brute contrastant avec décor moderne.

Ce qu'il faut savoir avant de peindre : la brique, un matériau capricieux

Repeindre une cheminée en brique n’est pas juste une pulsion déco du dimanche matin. La brique, c’est un peu la diva des matériaux : hyper poreuse, elle absorbe tout ce qu’on lui balance dessus (poussière, humidité, regrets décoratifs). Résultat : si vous zappez l’étape nettoyage/séchage, attendez-vous à voir votre chef-d’œuvre cloquer ou grisailler plus vite qu’un TikTok viral.

Pour les puristes du style rustique cradingue, sauter le nettoyage est peut-être un statement existentiel. Pour les autres, sachez que une préparation minutieuse est obligatoire : dégraisser, brosser et virer toute trace suspecte avant d’envisager une goutte de blanc cassé.

Côté technique : vérifiez que vos briques ne sont ni trop friables ni fêlées façon puzzle. Pensez également à l’évacuation de la fumée et à la chaleur : toutes les peintures n’aiment pas être grillées façon marshmallow.

Attention : certaines briques anciennes ou friables peuvent compromettre vos travaux. Inspectez chaque centimètre avant toute opération – quitte à passer pour parano.

Anecdote véridique : Un bricoleur pressé a repeint sa cheminée sur des briques encore couvertes de suie… Résultat ? Une odeur digne d’un barbecue avorté pendant six semaines et une surface qui pèle façon coup de soleil. Entre nous : à éviter.

Le matériel indispensable pour réussir la peinture de votre cheminée

Les peintures adaptées : résistance à la chaleur et durabilité

Disons-le franchement : croire qu’un vieux pot de peinture acrylique standard va tenir sur une cheminée en brique, c’est aussi optimiste que d’espérer garder les mains propres après avoir mangé des ribs. Spoiler : ça ne marche pas.

Tour d’horizon des peintures qui ne vous lâcheront pas à la première flambée :

  • Peinture haute température (jusqu’à 250–300°C)
    Avantages : Résiste aux fortes chaleurs, idéale pour les zones proches du foyer.
    Inconvénients : Coloris souvent limités au noir ou gris charbon – peu d’originalité.
  • Peinture minérale/silicate
    Avantages : Excellente perméabilité à la vapeur, laisse la brique respirer, idéale pour éviter les cloques chelous. Super résistante aux UV et à l’humidité.
    Inconvénients : Application technique, nécessite une surface bien préparée et sèche, sinon c’est le fiasco.
  • Peinture acrylique spéciale façade/intérieur (usage mural résistant)
    Avantages : Palette variée, finitions mates/satinées/velours/brillantes. Facile à appliquer hors zone très chaude.
    Inconvénients : Moins fan des grosses chaleurs — donc uniquement sur parties éloignées du foyer.
  • Laque acrylique haute température (en bombe ou pot)
    Avantages : Pose rapide, séchage express façon fast-food du relooking, bonne adhérence sur surfaces propres et lisses.
    Inconvénients : Finitions majoritairement satinées ou brillantes (le mat est un mirage), odeur costaud lors de l’application.

Bref, on fait comme on peut avec ce qu’on trouve entre les rayons bricolage et l’instinct de survie décorative. Mais on évite absolument la peinture basique « pas chère » – sauf si vous aimez le style écaillé dès le printemps suivant !

Tableau comparatif des peintures recommandées

Type de Peinture Résistance Chaleur Finitions disponibles Avantages principaux Défauts majeurs
Haute température +++ Satiné / Brillant Parfaite zones chaudes Palette très réduite
Minérale/Silicate ++ Mat Laisse respirer, anti-cloque Application exigeante
Acrylique Spéciale + Tous finis Couleurs variées Tenue dans le temps variable
Laque acrylique ++ Satiné / Brillant Séchage rapide Odeur forte

Les outils indispensables : du nettoyage à l’application

Entre nous, se lancer sans le bon arsenal, c'est comme partir pécher sans canne : on finit juste trempé et ridicule.

Checklist ultime pour peindre une cheminée en brique sans crise de nerfs :
- Brosse métallique (pour virer la crasse incrustée façon archéo amateur)
- Aspirateur avec embout brosse (aspirer la poussière des joints… oui c’est fastidieux)
- Dégraissant costaud type TSP ou lessive Saint-Marc (à manier avec gants si vous tenez à vos mains)
- Seau & éponges ou chiffons microfibre (parce que frotter au sopalin = perte de temps garantie)
- Bâches épaisses/plastiques recyclés (pour recouvrir tout ce qui n’a jamais demandé à finir marbré)
- Ruban de masquage large (pas celui qui se décolle dès qu’on ouvre la fenêtre !)
- Pinceaux plats taille XL et pinceaux fins pour angles/joints sournois
- Rouleau spécial « surface structurée » (c’est pas une pub mensongère pour une fois)
- Bac à peinture & grille d’essorage — oui ça compte !
- Gants latex/nitrile anti-pellicules décoratives sur vos mimines
- Lunettes si vous n’aimez pas pleurer devant votre chantier DIY…

« Règle numéro un du peintre futé : mieux vaut trop protéger que passer trois heures à gratter une tache sur parquet neuf. »

Anecdote : Un voisin s’est cru malin en zappant les gants. Il a fini avec des doigts bicolores pendant deux semaines… Certains appellent ça « manucure industrielle », moi j’appelle ça un avertissement gratuit.

Préparer l’espace : protéger pour éviter les dégâts

Disons-le franchement : le vrai pro n’est pas celui qui repeint vite mais celui qui ne rend pas son chantier plus sale qu’un festival boueux sous la pluie. Protéger = survivre au post-bricolage.

  1. Recouvrir sol et murs autour de la cheminée avec des bâches plastiques ÉPAISSES ou vieux draps sacrifiés à la cause décorative. Éviter les serviettes microfibre légères sauf si votre plaisir secret c’est ramasser chaque miette de peinture pendant deux jours.
  2. Fixer les bâches avec du ruban adhésif costaud tout autour des plinthes et coins – laisser aucun centimètre libre ou alors dites adieu aux joints blancs immaculés.
  3. Protéger verreries/métal/détails sensibles : masquez toutes les parties vitrées/façades métalliques d’insert avec un film plastique bien collant ou plusieurs couches superposées. Les éclaboussures sont fourbes !
  4. Dégager tout objet susceptible d’être repeint par accident : coussins déco, cadres photos précieux, chat aventureux… Tout doit déguerpir loin du périmètre immédiat !
  5. Aérer généreusement, car même Picasso trouvait que l’odeur de solvant avait ses limites.

Mieux vaut passer dix minutes à bâcher soigneusement qu’une heure à pleurer sur son tapis persan taché.

Cheminée en brique entourée de bâches prêtes pour peinture.

Étapes clés pour peindre votre cheminée en brique

Nettoyage en profondeur : dégraisser, dépoussiérer, préparer la brique

Disons-le franchement, croire qu’on peut peindre sur une cheminée crasseuse, c’est comme mettre du parfum sur un chien mouillé – ça masque rien du tout et ça vire vite au désastre. Le nettoyage ? C’est l’étape qui sépare le bricoleur futé du propriétaire résigné.

  • Dépoussiérage : Passez d’abord un coup sérieux d’aspirateur avec embout brosse dans tous les coins et recoins (oui, même là où personne ne regarde jamais).
  • Décrassage : Mélangez un tiers de tasse de phosphate de sodium (TSP) dans un seau d’eau chaude. À défaut, lessive Saint-Marc ou solution maison à base de 50% vinaigre blanc/50% eau chaude feront l’affaire. Gants OBLIGATOIRES si vous tenez à la douceur de vos mains.
  • Brossage : Brosse métallique ou brosse à dents pour articulations délicates — grattez toute la suie et les traces de cire/gras jusqu’à ce que la brique retrouve sa dignité. Pour les taches tenaces : bicarbonate de soude + eau en pâte épaisse, laissez poser puis frottez sans pitié.
  • Rinçage : Éponge propre à l’eau claire pour virer tout résidu chimique ou ménager.
  • Séchage complet : Attendez MINIMUM 48h, porte ouverte si possible. Peindre sur brique humide ? C’est le meilleur moyen d’obtenir un effet « cloque surprise » et une odeur digne d’un vieux barbecue.
  • Faites la chasse aux joints friables ou effrités avant peinture. Si besoin, refaites-les – sinon la peinture va juste se décoller par plaques et bonjour la loose visuelle.
Ventilez soigneusement à chaque étape ! Personne ne souhaite être intoxiqué par les vapeurs de solvants.

Traitement préalable : appliquer un primaire pour une meilleure adhérence

Entre nous, zapper le primaire sous prétexte que « c’est pour les faibles », c’est s’assurer un résultat qui se barre plus vite que vos bonnes résolutions sportives. Le primaire sert à trois choses vitales :

  1. Améliorer l’adhérence : La brique gobe tout ce qui passe – le primaire limite son côté assoiffé et rend la surface uniforme.
  2. Bloquer les taches fantômes : Suie incrustée, gras ancestral… un vrai piège sans primer adapté !
  3. Uniformiser le support : Pour éviter ces nuances douteuses façon camouflage militaire.

Utilisez un primaire spécial maçonnerie/briques poreuses, idéalement compatible haute température si proche du foyer. Appliquez au rouleau microfibre (surface) et pinceau fin (joints/recoins), en couche fine mais couvrante – pas question de repeindre à la truelle !
Respectez scrupuleusement le temps de séchage indiqué (en général 6 à 24h selon produit). Si ça colle encore après ce délai ? Attendez plus longtemps… ou changez de marque.

Pour approfondir l’art du primaire en décoration intérieure : Bases indispensables pour la peinture

Application de la peinture : étape cruciale pour un résultat réussi

Entre nous, c'est là que le vrai travail commence : appliquer une peinture sur brique texturée est plus sportif qu'une séance d'abdos devant Netflix.

Première règle ? Couches fines et régulières. On évite absolument les pâtés qui s’invitent dans les creux ou coulent lamentablement sur les reliefs. Privilégier plusieurs couches minces plutôt qu’une épaisseur suspecte qui mettra trois jours à sécher et craquera au premier froncement de sourcil thermique.

  • Sens d’application : Toujours croisé — commencez verticalement puis horizontalement pour remplir tous les interstices des reliefs (sinon effet peau-de-léopard assuré).
  • Recoins & détails : Pinceaux fins obligatoires dans les angles/joints – sauf si vous cultivez le style “oubli assumé”.
  • Patience tactique : Laissez sécher entre chaque couche selon indications (minimum 8h parfois). Oui, même si votre voisin jure que « ça prend max deux heures chez lui »…

Anecdote vécue : Un ami « pressé » a tenté deux couches épaisses pour gagner du temps… Résultat ? La peinture a cloqué dès la première flambée et il a dû tout gratter six mois après. Moralité : mieux vaut perdre quelques heures que toute crédibilité déco !

Finitions et retouches : le petit plus qui fait toute la différence

Disons-le franchement, ignorer les finitions c’est comme servir un gâteau sans glaçage — techniquement comestible mais totalement raté.

Quelques conseils pour passer du look bricolage amateur au standing quasi-pro :
- Passez une lampe LED rasante sur toute la surface fraîchement peinte : elle révèle immédiatement zones moins couvertes ou traces suspectes laissées par des pinceaux trop pressés.
- Retouchez systématiquement au pinceau fin toutes les micro-zones oubliées entre deux briques ainsi que les lignes irrégulières près des plinthes/moulures/aciers apparents.
- Pour éviter l’effet “coup de rouleau” visible en lumière rasante, repassez avec un rouleau sec légèrement texturé après application finale — ça uniformise SANS repeindre !
- Surfaces mates ou satinées ? Les finitions hydrofuges sont conseillées pour protéger contre humidité ambiante ou éventuelle éclaboussure accidentelle lors des soirées raclette autour du feu...
- Enfin... laissez sécher minimum 48h avant toute utilisation intense du foyer — sauf si votre hobby secret consiste à observer des peintures buller en direct !

« La perfection n’existe pas mais le diable est dans les détails — surtout ceux qui vous narguent quand vient l’hiver. »

Choisir la couleur idéale pour votre cheminée

Les couleurs classiques : blanc, noir, gris

Disons-le franchement : jouer la carte sûre avec une cheminée blanche ou grise, c’est comme miser sur la tartine-beurre au petit-déj — peu surprenant, mais diablement efficace. Le blanc ? Il éclaire n’importe quelle pièce à la vitesse de la lumière (sauf si vos fenêtres datent de l’âge du minitel). Un blanc mat sur brique efface d’un coup de pinceau cinquante ans de déprime visuelle et agrandit même les espaces sombres style couloir d’hôpital.

Le noir, lui, apporte une profondeur et un chic instantané. Parfait pour ceux qui veulent donner un côté théâtral sans virer au gothique. Le gris, c’est la Suisse des couleurs : ni chaud ni froid, il arrondit les angles et fait tout passer crème dans n’importe quel style — scandinave, industriel ou classique revisité. Bref, on fait comme on peut... mais le neutre reste une valeur refuge.

Cheminée en brique blanche dans un salon nordique moderne

Tableau comparatif express des couleurs classiques :

Couleur Impact sur l’ambiance Compatibilité styles d’intérieur Points forts
Blanc Amplifie la lumière, agrandit visuellement Scandinave, minimaliste, contemporain Efface le côté rustique, donne un aspect frais et clean
Noir Profondeur dramatique, élégance sobre Industriel loft, chic moderne Accentue le volume et sublime les matériaux bruts
Gris Calme, neutralité sophistiquée Tous styles (vintage à moderne pur) Tamponne la chaleur de la brique sans tomber dans la froideur totale

« Inutile de sortir Pantone 2025 pour réussir : blanc pour illuminer, noir pour un effet sérieux, gris pour la sécurité — le trio gagnant du peintre futé. »

Les couleurs audacieuses : rouge, jaune et autres teintes vives

Disons-le franchement : repeindre sa cheminée en rouge vif ou jaune banane relève soit du génie conceptuel soit d’un pari perdu lors d’une soirée trop arrosée chez Ikea. Mais… bien dosé (et surtout bien pensé), ces couleurs transforment littéralement la pièce.

Un rouge feu dynamite l’ambiance et impose sa présence : impossible d’ignorer l’objet. Parfait dans les salons fades où le beige règne encore en despote mou — mais dosez avec parcimonie sous peine d’écoeurement visuel façon bonbon anglais. Le jaune pop apporte soleil et pep’s – idéal pour réveiller une chambre au mobilier trop sage ou une salle à manger tristounette. Attention quand même à ne pas repeindre tout le mur autour sous prétexte « d’harmonie » – sinon effet cirque garanti !

Cheminée en brique peinte rouge et jaune point focal déco vintage

Mon avis tranché :

Entre nous : peindre sa cheminée couleur vive c’est fun trois semaines… jusqu’à ce que votre belle-mère vous demande si vous préparez un décor pour la Fête Foraine de Clichy. Osez sur des petites surfaces (briques sélectionnées ou encadrement), associez à des matières sobres (lin brut, bois clair) et gardez le reste soft. Une cheminée flashy oui… mais pas plus d’une par foyer sauf si vous collectionnez les migraines !

Harmoniser la couleur de la cheminée avec votre décoration

Disons-le franchement : rien n’explose plus vite qu’un intérieur mal accordé autour d’une cheminée bariolée. Le secret ? Cohérence visuelle avant tout.

  • Pour styles minimalistes : blanc pur + textiles blancs cassés/lin naturel + quelques touches noires graphiques = combo zen assuré.
  • Ambiance vintage/éclectique : osez vert sapin ou bleu pétrole sur la cheminée SI vos rideaux/tapis piquent déjà les yeux… sinon nuancer avec brun taupe ou terracotta pour éviter l’overdose chromatique.
  • Pièce scandinave / contemporaine : jouez sur camaïeux (cheminée gris clair + mobilier gris foncé + coussins moutarde). N’oubliez jamais que rideaux criards + cheminée flashy = erreur stratégique digne des pires heures du design 80’s.
  • Chambre feutrée ? Cheminée anthracite contre murs pastel doux = contraste sophistiqué sans fatigue rétinienne.
  • Pour finir : testez TOUJOURS votre teinte sur 3 briques planquées avant grand saut – effet surprise pas toujours garanti!

Pour approfondir le mélange des tendances et couleurs : Tendances phares pour sublimer votre intérieur

Entretenir votre cheminée en brique peinte pour une longue durée

Entretien quotidien pour une cheminée toujours éclatante

Disons-le franchement, si vous pensiez que repeindre la cheminée était la fin des corvées, c’est mal connaître la poussière et les taches de vie quotidienne. La bonne nouvelle : avec une peinture adaptée (lavable, résistante à la chaleur), l’entretien devient presque trop facile — même pour les allergiques au ménage !

  • Dépoussiérage hebdo : Un chiffon microfibre ou une brosse douce suffit. Inutile de sortir l’arsenal industriel ; un coup régulier enlève poussières et suie résiduelles.
  • Nettoyage en douceur : Pour les traces rebelles (coup de pied, doigt gras d’enfant en mode Picasso…), humidifiez légèrement un chiffon doux avec un mélange d’eau tiède et savon neutre. Pas besoin de frotter comme un forcené, sous peine d’abîmer le film protecteur.
  • Produits adaptés only : On zappe l’ammoniaque ou les détergents agressifs qui « décapent » tout sauf votre patience !

La clé est la régularité et la douceur pour garder une cheminée propre sans effort excessif.

Entretien facile d'une cheminée en brique peinte.

Réparer les taches et l’usure

Disons-le franchement : même avec la meilleure volonté du monde, une tache de vin rouge ou une rayure post-montée de meuble finiront tôt ou tard par pointer. Mais pas de panique : la peinture bien posée se défend comme un chef.

  • Taches coriaces : On attaque par petites touches avec une éponge douce imbibée d’eau savonneuse. Si la trace résiste (exemple : marque noire tenace), essayez un peu de bicarbonate sur chiffon humide — mais surtout pas d’abrasif !
  • Peinture éraflée/écaillement léger :
    1. Nettoyez doucement la zone endommagée.
    2. Poncez SANS insister pour lisser l’accroc.
    3. Remettez une micro-couche du pot de retouche (gardé précieusement depuis le chantier… sinon tant pis, retour magasin).
    4. Laissez sécher sans toucher – résister à l’envie de « vérifier » toutes les deux minutes…
  • Pour les dégâts majeurs : Si ça pèle franchement, grattez les parties décollées et recommencez le protocole primaire + peinture uniquement sur les zones touchées. Le reste attendra votre prochain coup de folie déco.

« La durabilité dépend du travail initial : bien poncé, apprêté et peint, votre cheminée résistera aux années. »

Anecdote vécue : Un client s’est vanté d’avoir essuyé une tache tenace avec… une éponge grattante côté vert (oui oui). Résultat ? Trace incrustée ET finition ruiné sur 10 cm². Moralité : entre nous, mieux vaut passer pour maniaque que pour vandal amateur.


Votre cheminée : un élément central de votre décoration

Disons-le franchement : laisser sa cheminée en brique brute en espérant qu’elle devienne tendance par magie revient à croire que porter des Crocs rouges fluo fera oublier votre pyjama pilou-pilou… Possible sur Instagram, rarement dans la vraie vie ! La peinture n’est pas juste LA solution miracle au problème esthétique : elle simplifie aussi l’entretien et apporte ce petit supplément d’âme qui sépare le salon fade du QG stylé.

Rappel des étapes clés à respecter

  • Nettoyer soigneusement et inspecter chaque centimètre – pour éviter les mauvaises surprises,
  • Appliquer un primaire adapté pour une adhérence optimale,
  • Peindre en couches fines et croisées pour un rendu uniforme,
  • Soigner les finitions et retouches pour un résultat professionnel,
  • Entretenir régulièrement et retoucher rapidement pour préserver l’aspect neuf.

N’hésitez plus : votre cheminée mérite une seconde vie. Osez la couleur ou restez sobre, amusez-vous et rappelez-vous : chez vous, vous êtes le chef déco.

Peinture cheminée en brique : toutes les étapes pour réussir la transformation de votre foyer

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