La maison est le dernier lieu où on devrait se sentir enfermé. Les portes-fenêtres sans poignée extérieure n’ont donc pas lieu d’être. Alors, on vous a préparé un tuto vidéo pour y remédier. Grâce à cette solution : 1) Vous fermez et ouvrez de l’intérieur comme d’habitude. 2) Vous fermez et ouvrez de l’extérieur comme avec une porte d’entrée. 3) Vous pouvez toujours laisser la porte entrebâillée. 4) Vous conservez vos poignées actuelles. Bref, c’est la solution idéale pour : 1) Ne plus jamais se retrouver bloqué dehors 2) Ne plus jamais laisser la porte entrebâillée en votre absence (gros danger) 3) Ne pas avoir à condamner une pièce entière juste pour sortir. Entre nous, il n’y a que 3 choses qu’on aime autant que le bricolage : les apéros, les siestes et les barbecues. Alors on vous a préparé un tuto ultra-détaillé pour vous permettre de profiter des trois sans prise de tête. Disons-le franchement : si vous savez tenir une perceuse, vous savez faire ce qu’on vous montre dans cette vidéo. On vous explique tout ça en vidéo.
Méthodes rapides pour fermer une porte-fenêtre sans poignée extérieure
Disons-le franchement : croire qu’une porte-fenêtre sans poignée extérieure nargue le bricoleur, c’est pas faux. C’est même un appel du pied pour sortir l’artillerie improvisée – et parfois, ça tombe pile quand t’as que cinq minutes devant toi ou que ta belle-mère débarque avec son chien à l’improviste.
Aimants puissants : le duo attraction/résistance

Disons-le franchement, si t’as pas songé aux aimants néodymes, t’es passé à côté du hack ultime. Tu colles un aimant costaud sur l’ouvrant et un autre sur le dormant. Rien besoin de calculer au micron près : vise l’alignement, colle, c’est réglé. Plus c’est plat, mieux c’est pour la tenue.
Avantages :
- Pose express (moins de 2 minutes si t’as pas deux mains gauches)
- Zéro perçage ni outil lourd
- Fermeture discrète, aucun bruit parasite (le voisin va rager de pas savoir comment tu fais)
- Facile à retirer si tu changes d’avis ou que Netflix sort une nouvelle astuce DIY
Inconvénients :
- Résistance variable selon la force des aimants (évite les modèles de calendrier publicitaire)
- Sécurité moyenne : un petit Hulk pourra tirer dessus sans trop forcer
- Peut marquer les supports fragiles si tu bourrines à la pose
À noter : certains aimants sont réglables en force – mais entre nous, ça frime plus que ça ne sert vraiment au quotidien…
Loquet extérieur discret : quand la sécurité se fait ninja

Bref, on fait comme on peut. Pour ceux qui veulent jouer les James Bond du verrouillage, opte pour un loquet à action cachée sous le dormant. Tu le fixes avec deux petites vis planquées et tu prévois une girouette spéciale (genre tournevis plat customisé ou mini-clé plate). Personne ne grille sa présence depuis la rue… sauf ton pote qui croit tout savoir.
Anecdote ? Un vieux briscard m’a raconté avoir planqué ce genre de loquet chez lui avant une fête clandestine : aucun invité n’a pigé comment il fermait sa baie… jusqu’à ce que mémé veuille aérer !
Tige ou bâton bricolé : la solution d’urgence chez mamie

Entre nous, rien de tel qu’un manche à balai coupé ou une vieille canne pour bloquer l’ouvrant. Tu poses la tige en appui contre la poignée intérieure (ou le bas du battant), tu ajoutes un caoutchouc récupéré sur une semelle usagée ou un joint de porte – histoire d’éviter les glissades surprises. C’est roots mais radicalement efficace pour calmer une envie subite de courant d’air… ou repousser la chatonne hyperactive.
Astuce bonus : Si tu veux booster la stabilité sans abîmer le bois du cadre ni laisser de trace, enroule un vieux tissu sous le caoutchouc. Ça sent peut-être le grenier mais ça marche !
Ruban adhésif robuste : dépannage express

Disons-le franchement : flemme absolue ? Tire dans ton tiroir à bazar un vrai ruban armé (style gaffer ou toile américaine) et colle-le en X bien tendu entre ouvrant et dormant. Tu n’arrêteras pas les cambrioleurs pro mais tu empêches clairement le courant d’air voire… ton cousin relou d’entrer par surprise ! Par contre, attention aux traces collantes ; prévois un dissolvant spécial colle pour éviter les jurons quand il faudra nettoyer.
« Un tuto raté vaut mieux qu’un tuto jamais commencé » – donc lance-toi même si ça tangue !
Solutions durables et esthétiques pour verrouiller votre porte-fenêtre
Disons-le franchement : si tu veux passer du mode "bricolage de fortune" au niveau "patron du verrouillage", c’est ici que ça se joue. Voici les solutions qui ne font pas sourire que ta belle-mère, mais bluffent aussi les voisins – ouais, même le vieux Gérard qui croit avoir tout vu.
Installer une poignée de tirage : prise en main assurée

Une poignée de tirage en inox ou laiton, c’est le B.A.-BA pour choper ta porte-fenêtre comme un chef au barbecue. Pas besoin de sortir le laser ni la panoplie de menuisier d’élite :
Checklist express pour poser ça propre :
- Mesurer exactement l’emplacement (conseil d’ami : vise l’axe médian, ni trop haut, ni trop bas)
- Tracer les points de perçage SYMÉTRIQUES – et oui, on évite l’effet Tour de Pise !
- Percer à travers le PVC ou l’alu avec la mèche adaptée (évite la perceuse du voisin, elle vibre comme un marteau-piqueur)
- Visser avec chevilles spéciales (le duo vis/cheville fait des miracles question solidité)
Poignée bien calée = prise fiable même en chaussettes mouillées. Testé le soir d’une panne de chauffage…
Verrou magnétique pro : fermeture silencieuse et clean
Disons-le franchement : rien ne crie plus "futuriste discret" qu’un verrou électro-aimantique. Câblage minimaliste, pose rapide si t’as pas deux mains gauches.
Installation en trois temps :
1. Repérer où caser la platine (sur l’ouvrant) et l’électro-aimant (sur le dormant)
2. Percer et fixer les supports sans massacrer le joint d’étanchéité
3. Relier au secteur ou à un micro-module sur batterie — puis régler la force d’attraction selon tes besoins (genre empêcher le chat de fuguer ou bloquer Hulk).
Modèle | Force (kg) | Conso (W) | Prix (€) |
---|---|---|---|
BasicMag 300 | 180 | 5 | 69 |
ProMag Secureline | 350 | 6 | 129 |
UltraLock Heavy Duty | 500 | 7 | 210 |
Astuce improbable : Certains modèles permettent même un contrôle Wi-Fi — mais entre nous, mieux vaut garder la clé USB planquée qu’un mot de passe bidon !
Serrure à deux points : double verrouillage, double tranquillité
Entre nous, installer une serrure multipoints simple n’est pas réservé aux architectes new-yorkais. Tu cales la tringle haute et basse sur la feuillure ; scie cloche obligatoire pour la rainure dans le bois/PVC/aluminium. Vise toujours l’alignement parfait sinon c’est double boulot assuré !
- Fixe d’abord le boîtier central côté poignée intérieure,
- Trace au cordeau l’emplacement des points hauts/bas,
- Perce puis visse chaque gâche sur le dormant… Et n’oublie pas d’ajuster au poil près pour éviter que ça coince à chaque ouverture.
Anecdote véridique : j’ai déjà vu une serrure multipoints montée à l’envers… Résultat ? Porte bloquée jusqu’à Noël suivant !!
Crémone sur-mesure : transformer votre fenêtre en porte d’entrée

La crémone sur-mesure, c’est pas juste pour les vieux manoirs dans lesquels traînent encore des fantômes ; aujourd’hui elle s’adapte partout, surtout si t’aimes sentir "l’effet coffre-fort" quand tu fermes ta baie.
- Coupe les tiges supérieures et inférieures à dimension réelle (évite la scie rouillée du garage…)
- Fixe solidement les plaques latérales,
- Ajuste le système de gâche avec un minimum de jeu pour que tout glisse nickel — ni trop mouillé, ni trop sec.
Bref, on fait comme on peut… mais ici c’est clean ET costaud!
Étapes d’installation pas à pas
Disons-le franchement : installer un verrou ou une crémone sur une porte-fenêtre sans poignée extérieure, c’est pas ouvrir une canette, mais ça reste accessible à quiconque ne s’endort pas devant un tuto. Entre nous, voici comment tu passes de « je galère » à « j’assume la fermeture maison ».
Outils et matériaux nécessaires : la check-list sans prise de tête

Avant de percer comme un bourrin, vérifie que t’as tout sous la main. Liste optimisée pour le bricoleur qui vise l’efficacité, pas le musée du bricolage :
- Perceuse (électrique ou batterie qui tient la route)
- Jeux de mèches métal/bois (évite les bas de gamme, ça pleure vite sur du PVC ou alu)
- Visserie inox (inox sinon rien, parole d’ennemi de la rouille)
- Tournevis plat et cruciforme
- Loquet magnétique pro / crémone à clé / poignée de tirage selon option choisie
- Mètre-ruban fiable (pas celui qui se rétracte au moindre coup d’œil)
- Niveau (laser si t’es vraiment joueur – sinon bulle classique)
- Marqueur indélébile / pointe à tracer
- Chevilles spéciales menuiserie (évite les modèles béton… logique ? Ben non, beaucoup se trompent!)
- Lime demi-ronde ou plate pour finitions propres
- Joint mousse d’étanchéité et tube lubrifiant silicone pour peaufiner
Mesurer, percer, fixer : la base du bricoleur concentré

Ici on ne joue pas au devin !
1. Mesurer : Prends la largeur du cadre à trois endroits différents (haut/milieu/bas) pour éviter les surprises – certains cadres sont aussi réguliers qu’un match du PSG.
2. Tracer : Repère l’emplacement exact des points de fixation avec ton marqueur ; assure-toi que tout est aligné. Vérifie deux fois avant d’attaquer…
3. Percer : Place un bout d’adhésif là où tu vas percer pour limiter l’éclat sur PVC ou alu ; attaque doucement et augmente la vitesse progressivement. Change de forêt au besoin (inutile de chauffer le plastique jusqu’à le fondre).
4. Fixer : Insère tes chevilles spéciales puis visse fermement le loquet, le verrou ou les platines de crémone. Si ça force trop, arrête tout : revisite l’alignement et la taille des trous.
Pour ceux qui percent trop large : mets une cheville plus balèze ou recommence carrément — personne n’est parfait !
Ajuster et tester : assurer une fermeture sans surprise

Disons-le franchement : installer c’est bien, ajuster c’est vital !
1. Monte l’ensemble provisoirement avec quelques tours de vis.
2. Ouvre et ferme la porte-fenêtre 4 à 5 fois d’affilée (lâche rien tant que ça coince !).
3. Repère les points durs, marques éventuelles ou jeux anormaux ; rectifie immédiatement — parfois il faut décaler un poil.
4. Pour les systèmes multipoints/crémones : pense à tester tous les axes (haut/bas), pas juste celui qui t’arrange.
5. Si besoin ajoute une cale fine derrière le verrouillage pour compenser un jeu.
Anecdote vécue : lors d’un montage express chez un pote pressé, on a dû re-percer car « tout semblait bon »… sauf l’ouverture dans l’autre sens — merci la précipitation ! Bref, on fait comme on peut.
Finitions et réglages : entre propreté et longévité

dison-le franchement : laisser des bavures ou oublier une once de graisse c’est provoquer ta future crise de nerfs.
- Passe systématiquement la lime sur toutes les arrêtes coupantes (surtout sur supports métal et alu – tes doigts te diront merci).
- Pose proprement un joint mousse là où l’air pourrait passer ; coupe net au cutter, oublie les ciseaux IKEA qui mâchouillent tout !
- Graisse généreusement la crémone/la serrure/le loquet avec du silicone en bombe – jamais d’huile moteur ni WD40 sur plastique et joints modernes : ça flingue plus que ça sauve !
- Vérifie visuellement que rien ne gêne le jeu mécanique ou n’abîme tes finitions PVC/alu/bois.
dison-le franchement : ce sont ces petits détails qui différencient un vrai bricoleur d’un bidouilleur YouTube passéiste.
Entretien, conseils de sécurité et alternatives pro
Disons-le franchement : une porte-fenêtre que tu ne bichonnes pas, c’est comme un vinyle rayé… tu finis par le regretter. On passe au niveau supérieur. Maintenance régulière, astuces de sécu et options pour les geeks du verrouillage — tout y passe. Bref, on fait comme on peut, mais jamais au pif.
Maintenance des loquets et des aimants : éviter la panne

Un loquet qui grince ou un aimant qui perd la boule, ça flingue la tranquillité. Disons-le franchement, même le bricoleur du dimanche devrait respecter ces trois étapes :
- Lubrifie les axes et pièces mobiles tous les deux mois (huile silicone uniquement — l’huile moteur c’est pour les vieux scooters).
- Nettoie à la microfibre chaque surface aimantée ou zone métallique : la poussière, c’est l’ennemi numéro un (et la rouille vient juste derrière).
- Vérifie le serrage des vis et fixations toutes les deux lunes ; si ça branle ou que ça claque trop, resserre fissa.
Un loquet entretenu dure trois fois plus longtemps. Entre nous, mieux vaut dégainer la bombe silicone que sortir la caisse à outils tous les ans…
Conseils pour portes PVC, aluminium et bois : adapter sa méthode

Ne mélange pas torchons et serviettes : chaque matière a ses caprices.
- PVC : Privilégie les vis autotaraudeuses inox, perçage léger (jamais bourrin), évite tout produit gras qui attaque le plastique sur le long terme.
- Aluminium : Utilise des vis autoforeuses zinguées ou inoxydables ; perce lentement pour éviter l’échauffement qui déforme le cadre.
- Bois : Pré-perce toujours pour pas fendre le battant ; choisis des vis à filetage large pour l’accroche. Pour finir proprement, un peu de pâte à bois sur les têtes si tu veux frimer devant belle-maman.
Résumé points clés :
Matériau | Visserie recommandée | Astuce perçage | Fixations compatibles |
---|---|---|---|
PVC | Inox/Taraudeuse | Petite vitesse | Chevilles plastique |
Aluminium | Autoforeuse Inox | Refroidir mèche | Rondelles métal |
Bois | Filetage large | Pré-perçage | Vis longues |
Faire appel à un pro : quand franchir la ligne jaune du DIY

Disons-le franchement : il y a une limite où faut laisser tomber l’égo et appeler un vrai. Cas typiques où l’amateur s’écroule :
- Porte-fenêtre double vitrage renforcé (tu veux pas risquer l’explosion façon « verre pilé dans tout le salon »)
- Gâches encastrées difficiles d’accès (surtout sur menuiserie alu)
- Besoin d’une serrure multipoints certifiée A2P (assurance exigeante…)
- Rattrapage d’une installation précédente complètement bancale (déjà vu des platines montées à l’envers… si-si !)
Un serrurier équipé bosse vite, proprement, avec garantie – parfois grimaçant devant tes essais précédents mais toujours efficace.
Anecdote du terrain : j’ai vu un gars tenter d’ouvrir une crémone alu sans outil adapté… Résultat ? Menuiserie massacrée et devis x3 chez le pro. Bref, on fait comme on peut mais parfois faut savoir lâcher !
Alternatives high-tech : système de verrouillage automatique

Entre nous : rêver d’un verrou qu’on pilote en chaussettes depuis son lit n’a rien d’utopique — aujourd’hui c’est du concret. Voici 4 options carrément bluffantes pour ceux qui aiment tout contrôler via smartphone ou badge :
1. Serrure connectée Bluetooth/Wi-Fi : gestion à distance via appli mobile ; ouverture par code ou badge RFID (genre LOXERIS ou Nuki).
2. Verrou motorisé multipoints : s’active automatiquement quand la porte se ferme — souvent compatible domotique.
3. Clavier biométrique intégré : ouverture avec empreinte digitale + code PIN ; parfait contre les cousins fouineurs !
4. Mécanisme intelligent type WINTECTO One : contrôle complet par application dédiée ; notifications dès qu’un ado tente une fugue nocturne…
Astuce : certains modèles mixtes fonctionnent sur piles longue durée ET peuvent être alimentés secteur pour ne jamais rester bloqué en cas de pépin.
Conclusion : sécuriser sa porte-fenêtre sans prise de tête

Disons-le franchement : si t’as lu jusqu’ici, c’est que t’as deux options en vue : soit tu fonces sur l’astuce minute, soit tu passes à l’installation durable et tu veux que ça tienne jusqu’à la prochaine canicule – et personne ne viendra te juger pour ça. Entre nous, choisir la bonne méthode, c’est pas une question de diplôme mais de bon sens (et d’envie d’épater la galerie… avoue).
Le vrai secret ? Il n’existe pas une seule bonne façon de fermer une porte-fenêtre sans poignée extérieure : tout dépend de ton matos, du style que tu veux afficher, et du temps que tu comptes y mettre. T’as kiffé le loquet planqué ou le verrou aimanté ? Vas-y. T’es plus à l’aise avec une crémone bien costaude ou un système connecté futuriste ? Fonce sans te retourner.
Résumé pour les pressés :
Prends tes outils (ou ton rouleau d’adhésif), choisis ta méthode préférée et lance-toi. L’essentiel, c’est de finir l’installation proprement – même si ça tangue un peu au début, on progresse toujours plus vite en osant qu’en rêvant.
Bref, on fait comme on peut, mais toujours mieux qu’attendre que quelqu’un ferme la porte pour nous.