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Pelargonium zonale : guide complet de culture et d’entretien

Longtemps moqué, le Pelargonium zonale (ou géranium) fait son grand retour. Et entre nous, il n'a jamais vraiment quitté nos balcons. On vous explique pourquoi (et surtout comment) l'adopter.

17 min
Jardin & Extérieurs
29 June 2025 à 11h03

Dans la famille des idées reçues, on demande le géranium. Ou plutôt le Pelargonium zonale, de son petit nom botanique. Plante de mamie ? Pas si vite. Cette vivace sud-africaine est sans conteste la plante ornementale la plus robuste, versatile et facile à vivre qui soit. Elle est aussi un des rares végétaux à encaisser l’oubli d’arrosage du mois d’août. Mais ce n’est pas tout : elle est aussi une des plus généreuses, avec ses floraisons XXL, ses feuillages graphiques et ses variétés parfumées. On le pensait ringard ? Il est en fait ultra-tendance. On le croyait fragile ? Il est increvable. On le disait ennuyeux ? Il est surprenant. Le tout, à condition de savoir comment s’en occuper. Et ça tombe bien : on vous a préparé le guide le plus complet du web pour le planter, l’entretenir et l’adopter (à nouveau).

Pelargonium zonale : fiche express pour réussir sa culture (exposition, arrosage, entretien)

Exposition et température idéales : plein soleil mais pas rôtissoire

Disons-le franchement, il adore cramer tranquille. Le Pelargonium zonale, c’est l’enfant solaire du KwaZulu-Natal et de la Province du Cap, en Afrique du Sud. Là-bas, ça tape dur et le ciel ne fait pas semblant. Plein soleil obligatoire – si t’as un balcon à l’ombre, laisse tomber ou investis dans des lampes de croissance. Tolérance thermique ? Entre nous : une pointe de gel sous -2°C et il tire la gueule, mais jusqu’à 35°C il reste royal (en mode « festivalier sud-africain sous acide »). Bref, la canicule n’effraie que les jardiniers du dimanche.

Pelargonium zonale éclatant plein soleil pot rouillé balcon urbain fleurs rouges Scarlet

Arrosage : combien, quand, et le test du doigt dans la terre

On croit dur comme fer que le Pelargonium zonale survit à l’oubli d’arrosage du mois d’août. Faut dire qu’il préfère clairement manquer d’eau qu’en avoir trop – t’as déjà vu un géranium pleurer quand tu pars trois semaines à la plage ? Jamais. Test imparable : tu plantes ton doigt dans la terre, si ça colle ou c’est humide = STOP. Si c’est sec sur deux phalanges = vas-y mollo avec l’arrosoir.

Anecdote borderline ? Un été sans pluie à Paris, j’ai retrouvé mon zonal aussi gaillard qu’un rockeur après un after trop long : feuilles nettes, fleurs présentes, juste un peu poussiéreux. Bref, on fait comme on peut.

Clé de survie : Pas d’eau stagnante dans la soucoupe. Sinon racines KO.

Substrat et engrais : la recette drainante qui évite le botrytis

Le botrytis (le champi relou de la famille des Geraniacées) adore l’humidité planquée – donc terreau basique interdit. Pour blinder ton substrat : 60% terreau universel + 30% perlite + 10% pouzzolane grossière. Tasse sans forcer : faut que ça respire comme une salle punk au fond d’une cave sèche !
Un soupçon d’engrais liquide toutes les deux semaines pendant la floraison et basta. Le reste c’est du pipeau vendable en jardinerie.

Planter le Pelargonium zonale en pot, jardinière ou pleine terre

Choisir le bon contenant ou l’emplacement béton

Disons-le franchement : le Pelargonium zonale n’est pas un badge exclusif réservé aux balconnières de mamie. Oublie les clichés. Sa réputation a traîné comme une vieille compile des années 80, mais entre nous, c’est du flan. Ce costaud s’en fiche du qu’en-dira-t-on : racines profondes, feuilles qui encaissent la poussière urbaine… Il s’adapte à tout ce qui draine plus qu’une salle de concert après minuit. Pot classique type terre cuite, ciment, bac XXL, jardinière large – il prend tout sauf les pots rikikis qui l’étouffent vite fait. Et pour ceux qui veulent sortir du lot : la Doc Martens percée, c’est validé. J’ai moi-même testé sur un vieux modèle troué (merci les concerts), résultat : racines à l’aise, drainage naturel et classe punk garantie.

Pelargonium zonale dans Doc Martens percée rebord urbain rock fleurs rouges

Anecdote d’atelier : Même un cousin dubitatif a fini par demander où j’avais trouvé « cette jardinière collector ».

Étapes de plantation pas à pas sans prise de tête

  1. Dégote un pot béton (ou ta fameuse chaussure trouée), au moins 20 cm de profondeur. Tu veux de la place pour les racines.
  2. Fous une couche de graviers ou billes d’argile au fond – le drainage ou rien.
  3. Remplis avec ton substrat magique (terreau universel + perlite + pouzzolane). Si t’as raté la recette, reviens lire plus haut.
  4. Dépote doucement la motte sans charcuter les racines : c’est pas l’heure du pogo.
  5. Pose la motte à ras du bord, complète autour avec le reste du terreau, tasse mollo.
  6. Arrose modérément (pas d’inondation !).
  7. Laisse au soleil et observe – si ça tire la tronche après deux jours, t’as déconné quelque part.

Bref, on fait comme on peut : zéro diplôme horticole requis.

Associer le pélargonium : compagnonnage déco et couleur

Oublie l’association fadasse géranium-lierre vue chez Belle-Maman depuis 1993. Pour réveiller ton balcon façon playlist AC/DC des fleurs : colle-lui un Bacopa blanc en cascade (pour le contraste digne d'une pochette culte) et du lierre panaché bien grunge sur les bords. Ça claque sévère niveau chroma – test validé dans mon squat urbain entre deux escaliers tagués. Si tu veux pousser encore plus loin dans l’anti-conformisme : tente la verveine citronnelle ou des ipomées compactes pour un effet visuel méchamment dynamique.

Clé pop : Un trio Pelargonium zonale + Bacopa + lierre panaché met KO toute morosité post-confinement.

Entretien saison par saison : tailler, pincer, booster (et ne pas tuer)

Printemps : réveil, pincement et bouturage express

Disons-le franchement, le Pelargonium aime qu’on lui secoue les neurones au printemps. On commence avec le modèle qui met tout le monde d’accord : le fameux Pelargonium hortorum ‘Rose’. Entre nous, les tiges qui s’étirent comme une vieille antenne radio, on coupe ça sec : tu tailles tout ce qui part de travers ou reste trop maigre. Le top ? Pince à la main (pas besoin de sortir Excalibur) au-dessus d’un nœud solide. Ça booste la ramification et—magie du punk—ça déclenche une explosion de nouvelles pousses.

Envie de multiplier l’affaire ? Profite des tiges coupées pour tenter un bouturage express : tu plantes direct dans du substrat propre, tu arroses à peine. Oui, même ton cousin qui rate les cactus peut réussir.

Pelargonium hortorum Rose pince balcon rock outils jardinage

Été : floraison XXL sans se ruiner en eau

  • Oublier l’arrosage deux semaines ? Disons-le franchement : c’est un test que seul le Pelargonium zonale relève sans broncher.
  • Engrais liquide – dilution moitié moins forte que sur la notice. Un shoot toutes les deux semaines suffit largement.
  • Retire systématiquement les fleurs fanées (oui, même si t’as la flemme) : ça relance la production en mode festival non-stop.
  • Le feuillage jaunit ou tire la tronche ? Pause sur l’engrais, il préfère un manque qu’un excès.
  • Astuce d’été : laisse sécher la terre entre deux arrosages (test du doigt toujours de rigueur).

Bref, on fait comme on peut, mais avec les bons réflexes tu passes pour un pro sans y laisser ta sueur ou ton PEL !

Automne-Hiver : hivernage et parade anti-maladies

Disons-le franchement : ceux qui balancent « c’est mort en hiver » n’ont jamais essayé l’entretien hiver digne de ce nom. On taille 1/3 du feuillage pour garder un plant compact (sinon tu héberges une jungle dépressive). Les pots vont à l’abri dès que ça frôle 5°C — sinon tes racines gèlent aussi sec qu’un solo raté.

Installe-les derrière une fenêtre lumineuse mais jamais collés au radiateur – là c’est la mort par dessèchement assuré. Aucun engrais jusqu’au retour du soleil ! Eau minimale juste pour éviter le flétrissement ; laisse vraiment sécher entre deux apports. Un coup d’œil régulier aux feuilles : si tu repères botrytis ou oïdium, vire illico la partie atteinte (pas de remords, c’est la règle du squat).

Pelargonium zonale hivernage pot fenêtre feuilles coupées décoration vintage

Astuce ultime : Un géranium bien taillé avant le froid redémarre plus vite qu’une platine vinyle branchée sur secteur.

Multiplier son Pelargonium zonale : semis, boutures et autres magies

Bouture herbacée en 15 minutes chrono

Disons-le franchement, si tu rates une bouture de géranium zonal, c’est que la plante t’en veut personnellement. La version express fonctionne à tous les coups. Fini le débat eau ou terre : la terre gagne à tous les rounds pour l’enracinement solide.

Check-list minute du parfait bricoleur-pince-fleurs :
- Sécateur ou couteau propre (pas la lame à rouiller du fond de poche)
- Tige saine, non fleurie (10-15 cm, pas ramollie comme un vieux chewing-gum)
- Enlève toutes les feuilles sauf deux en haut (on ne veut ni jungle ni sauna)
- Hormone de bouturage optionnelle : pour les anxieux du succès
- Pot/godet biodégradable + substrat léger (terreau-perlite-sable)

Et hop : tu plantes direct dans le godet, t’arroses léger. Place à la lumière sans soleil direct (sinon ça grille). Bref, on fait comme on peut — résultat visible en dix jours chrono.

Bouture Pelargonium zonale godet substrat outils atelier urbain

Semis pour les jardiniers patients (ou masochistes)

Alors là… Faut aimer souffrir. Le semis de Pelargonium zonale c’est un peu comme faire un solo de batterie d’une main : long, fastidieux et souvent inutile si t’es pas du genre persévérant. Les graines mettent un temps délirant à germer (deux semaines minimum), avec des caprices dignes d’un rockeur en fin de carrière : chaleur constante autour de 21°C, lumière douce mais présente tout le temps. Le tout arrosé à la pipette sinon ça pourrit.

À l’époque où Jan Commelijn faisait joujou avec ses premières graines rapportées du Cap, il aurait sûrement préféré un bon bouturage sauvage… Sérieux, même les semis réussis donnent des « zonales » imprévisibles côté fleurs/couleur — effet loterie assuré. Entre nous : conseils d’initiés, oui ; espoir fou, non.

Division de souches anciennes : mission réanimation

Division ? Là c’est chirurgie rock’n’roll sur vieilles racines ligneuses, pas yoga zen dans la rosée du matin. Disons-le franchement : choisis une souche vraiment vieille qui s’étouffe dans son pot XXL – sinon ça sert à rien.
1. Sors la motte entière sans fracas (sinon carnage).
2. Coupe au couteau (affûté ou non) en gardant au moins une belle touffe de racines fines par éclat.
3. Vire les morceaux trop vieux/boisés – ils repartent rarement.
4. Rempote chaque division dans du frais et surveille humidité – racines stressées = feuilles HS en 48h.
5. Ne tente jamais ça à la veille d’une canicule ou d’un épisode polaire.

Souche Pelargonium zonale division racines ligneuses couteau ambiance rock

Clé brute : La vraie division ne se fait QUE sur plantes âgées ou épuisées — sinon autant faire des boutures façon express.

Maladies et ravageurs : prévenir et sauver son géranium avant le drame

Disons-le franchement, même un zonal aussi solide que le cuir d’une Doc Martens n’est pas à l’abri d’un mauvais riff côté maladie ou bestioles. Savoir repérer la faille et dégainer la solution rock’n’roll, c’est la seule façon de ne pas finir avec un pot fantôme sur le balcon.

Botrytis, rouille, oïdium : repérer les signes et agir vite

Maladie Symptômes Solution rock’n’roll
Botrytis (pourriture grise) Taches brunes molles, feutrage gris, boutons floraux secs ou pourris Coupe tout ce qui est atteint (sans état d’âme), isole la plante, arrose sans mouiller les feuilles. Bouillie bordelaise en prévention (mais sans overdose)
Rouille Petites pustules orangées sous les feuilles, taches jaunes dessus Retire et brûle les feuilles malades, évite humidité constante. Traitement au soufre (jamais en plein soleil !).
Oïdium Feutrage blanc poudreux sur feuilles/tiges Enlève les parties touchées, espace tes pots pour l’aération. Pulvérise du lait dilué à 10% ou du bicarbonate – résultat souvent meilleur qu’un solo de guitare à l’ancienne !

Pucerons, aleurodes, chenilles : qui attaque quoi et comment répliquer

  • Pucerons : Petits points verts/noirs sur tiges jeunes – aspirent la sève comme des vampires sous amphètes. Tu balances un spray d’eau savonneuse (savon noir = riff imparable), passage au jet pour décoller tout ce petit monde.
  • Aleurodes (mouches blanches) : Nuée blanche dès que tu touches la plante – elles kiffent l’air sec. Attaque au savon noir + huile de neem si t’es motivé ; pièges chromatiques jaunes collants en bonus.
  • Chenilles : Trous dans les feuilles façon punk – ramassage manuel le matin avant café ; sinon BT biologique si invasion massive (Bacillus thuringiensis pour ceux qui aiment les mots compliqués).

Bref, chaque bestiole a son point faible. Pas besoin d’un labo ni d’un solo technique pour remettre un zonal sur pied.

Plan de secours quand tout semble perdu

Attention : ne jamais vaporiser soufre en plein soleil sous peine de plants carbonisés.

Si malgré tous ces riffs tu te retrouves avec une motte H.S., y’a pas de honte à envoyer la plante malade au compost — bien déchiquetée et mélangée (pas planquée sous la table). Bref, on fait comme on peut… mais pas question de laisser mourir ses bacs sans tenter le baroud final.

Variétés cultes et originales de Pelargonium zonale à tester

Les inévitables rouges et roses qui font toujours mouche.

Disons-le franchement, certains classiques tabassent tout sans effort. Le Pelargonium ‘Colorama F2 Scarlet’ c’est le solo de guitare du jardin : rouge intense qui arrache la rétine (⭐⭐⭐⭐⭐ 🤘). ‘Calliope® M Scarlet Red’, quant à lui, Label Rouge, grosse floraison écarlate bien franche : tenue parfaite même en pot sur dalle cramée en plein centre-ville (⭐⭐⭐⭐ 🤘). Pour les fans d’énergie sombre, ‘Nekita® Scarlet’ balance ses grosses fleurs semi-doubles rouge foncé – effet massue sur balcon bétonné (⭐⭐⭐⭐⭐ 🤘).

Pelargonium zonale variété Scarlet rouge intense vibe rock

Cultivars bicolores et panachés qui claquent sur Insta.

Entre nous, la mode « foliage show » a fait passer le géranium zonal dans la cour des grands. Tu veux voir un truc ? Imagine ‘Wilhelm Langguth’ : fleurs rouges éclatantes, feuillage vert liseré blanc. Déjà vu ? Attends ‘Mrs Pollock’ : explosion orange/jaune/vert/noir sur les feuilles, c’est limite psychédélique. Photo mentale obligatoire : une jardinière urbaine planquée sur un muret tagué – chaque pot explose façon palette pop d’un clip MTV ; aucune application de filtre requise. Bref, ces cultivars tuent l’ennui et réveillent n’importe quel rebord.

Pelargonium zonale panaché bicolore feuille argentée fleur rose blanc urbain artsy

Sélection parfumée et feuillage décoratif pour snob averti.

Disons-le franchement : les vrais savent que certains pélargoniums remballent toute la concurrence côté senteur et style. À chaque froissement, feuilles de ‘Fragrans’ ou de variétés issues des sélections François Desbois balancent citronnelle ou menthe douce comme un bonbon caché au fond de poche. Ambiance rétro-vintage garantie avec leur port compact et leur look « herbe magique ». Feuillages finement découpés ou gaufrés — c’est le détail qui fait qu’on te prend pour un connaisseur en terrasse… ou juste snob incurable.

Pelargonium odorant feuillage parfumé citron menthe table bois déco bohème

Histoire et anecdotes : d’Afrique du Sud aux balcons français

Découverte botanique et péripéties coloniales (Commelijn, Somerset & Co.)

Disons-le franchement, sans Mary Somerset, le Pelargonium zonale serait peut-être resté au fond du bush sud-africain à discuter gravillons avec les proteas. La duchesse de Beaufort, punk botanique avant l’heure, l’a importé dès 1710 dans sa serre surchauffée de Chelsea. Elle a trimballé des graines exotiques comme on planque des vinyles rares dans ses valises. Si tu veux causer collection, oublie le NFT – Mary, elle, faisait dessiner le moindre pétale par Everad Kickius pour son herbier collector : la classe à l’anglaise qui n’en fait pas trop.

« Je préfère une pousse rugueuse à un lord bien peigné – surtout si elle pique la curiosité des bourgeois du jardin d’à côté. »

Mary Somerset duchesse punk victorienne serre Chelsea Pelargonium zonale

Du jardin victorien au cliché « plantounette de mamie »

Entre nous : le XIXe siècle a tellement surdosé sur les géraniums que t’aurais cru Londres transformé en serre géante sous cloche. Les dames coincées du buste alignaient leurs pots de zonal comme d’autres collectionnent les bagues – statut social ou pas, il fallait son balcon fleuri sinon rien. Sauf qu’à force de biberonner ces fleurs à l’eau tiède et au conformisme bourgeois… boom : passage direct dans la case « déco de vieille tante », ambiance napperons et naphtaline. Ironie totale quand on sait que cette plante venait du rock dur d’Afrique australe.

Le come-back tendance bohème dans nos décos éclectiques

Faut croire que rien ne crève vraiment dans la pop culture ni sur nos rebords de fenêtre. Aujourd’hui, le Pelargonium zonale se tape un retour punk dans les intérieurs bohèmes urbains : on le repère dans des Doc Martens percées et à côté de vinyles vintage qui craquent plus qu’ils ne jouent – bref, combo rock chic assumé. Fini la naphtaline, place aux couleurs vives et aux pots dépareillés qui claquent sous néon ou soleil. C’est devenu l’arme fatale pour ceux qui veulent dire « j’ai la main verte » sans tomber dans l’esprit catalogue des années passées.

balcon urbain boheme rock Pelargonium zonale Doc Martens vinyles vintage

FAQ express : vos questions cash sur le Pelargonium zonale

Combien de temps dure la floraison ?

  • Question : Ça fleurit combien de mois, ce truc ?
  • Réponse : Disons-le franchement, si t’enlèves les fleurs fanées et que tu fais pas n’importe quoi avec l’arrosage, ton zonal peut balancer des fleurs de mai à octobre non-stop. Oui, même si t’as pas la main verte. Après, à chacun son karma…

Le pélargonium est-il toxique pour les animaux ?

Entre nous, c’est pas le genre de plante qui envoie ton chat direct chez le véto à la moindre léchouille. Mais on va pas te mentir : toutes les parties du Pelargonium contiennent des terpènes comme le géraniol et le linalol – toxiques light. Effet le plus courant : vomi léger ou diarrhée (merci pour l’ambiance !) chez les chats ou chiens grignoteurs invétérés. Pas d’hôpital psychiatrique animalier requis… mais mieux vaut éviter l’orgie végétale.

Pourquoi mes feuilles jaunissent ou rougissent ?

  • Trop d’eau ? Les racines détestent la noyade, surtout sans drainage.
  • Pas assez d’eau ? Même lui a ses limites côté sécheresse XXL.
  • Excès d’engrais (surtout l’azote) : ça flingue le feuillage plus vite qu’un solo mal accordé.
  • Lumière faiblarde ? Il fait la grève et pâlit sec.
    > Solution express : vérifie arrosage/drainage et diminue l’engrais. Pour les vrais soucis (maladies ou parasites), va zieuter la section Maladies et ravageurs. Bref, on fait comme on peut.

Conclusion : Pelargonium zonale, le retour d’une star increvable

Entre nous : on aura tout dit. C’est officiel, le Pelargonium zonale défonce tous les clichés moisis. Pas besoin de gants blancs ni de playlist zen pour s’en occuper : ce type-là encaisse le soleil, la sécheresse des grandes vacances et se moque bien de l’avis des voisins. Il passe du squat punk à la déco bohème comme il veut, sans jamais finir au compost si tu assures juste un peu.

Pelargonium zonale star increvable pot vintage rock balcon photo brute
Rappel express : un bon drainage + soleil, et c’est concert garanti tout l’été.

Disons-le franchement, ce vieux briscard a encore de la sève.

Pelargonium zonale : guide complet de culture et d’entretien

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